PREALABLE INCONTOURNABLE
Je tiens tout particulièrement à remercier mes deux professeurs de piano pour la qualité de leur enseignement, leur richesse musicale
ainsi que leur pertinence pédagogique.
A savoir et dans l'ordre.
Madame Elisabeth SMAL- EVRARD à l'époque enseignante
à l'Ecole de Musique de Seraing.
Monsieur Wieslaw SZLACHTA professeur à l'Académie de Musique de Waremme et pianiste-accompagnateur au Conservatoire Royal de Musique de Liège.
Tous deux m'ont apporté des éléments très différents.
Madame SMAL m'a initié, révélé, poussé
et donné des bases et mis en confiance.
Monsieur SZLACHTA m'a apporté sa haute et fine vision pédagogique
de son rapport physique au clavier.
Grâce à lui je joue tout maintenant en souplesse,
en détente totale et avec une grande décontraction.
"Jouer sans os comme la main du bébé."
Wieslaw SZLACHTA
"Jouer en imaginant pousser le piano contre le mur."
Wieslaw SZLACHTA
Patrick FRASELLE pianiste
compositeur
improvisateur
professeur de piano
jazz blues tango musique classique
Des compositions personnelles sous fichiers mp3
vont être mises en ligne
Mon premier concert public date de 1976
consacré à Erik SATIE et remasterisé en cd
est disponible sous fichiers mp3
Enregistrement sous K7 audio avec matériel de fortune.
Veuillez excuser la mauvaise qualité du son assorti de vibrations.
1. Patrick FRASELLE interprète Erik SATIE
a) Patrick FRASELLE interprète la 3ème Gnossienne
d'Erik SATIE
b) Patrick FRASELLE interprète Erik SATIE
c) Patrick FRASELLE interprète Erik SATIE
d) Patrick FRASELLE interprète la 1ère Gymnopédie
d'Erik SATIE
e) Patrick FRASELLE interprète Erik SATIE
Quelques photos du concert
"improvisation sur des tangos d'Astor PIAZZOLLA"
dans la salle de la Mi'Lune le 09 novembre 2008
à Liège
Les photos de Patrick FRASELLE n° 1 et 4 pendant
le concert à la Mi'Lune sont de Jocelyne CHAINEUX.
Photos Joce
Les photos de Patrick Fraselle n° 2 et 3 pendant
le concert à la Mi'Lune sont de Tango Photo.
2. L'improvisation : remarques générales théoriques
par Patrick FRASELLE
Pour improviser, il faut sortir des carcans rigides (même si cet enseignement très structuré est profondément nécessaire) reçus dans les conservatoires de musique. Sortir des règles qu'impose le solfège. Le solfège n'est qu'un code. "La musique c'est ce qu'il y a entre les notes." Claude DEBUSSY - Retrouver l'anthropologie ainsi que l'instinct de la musique. Avec au départ le cri qui génère le chant et le tapé dans les mains qui ouvre les portes sur la percussion ainsi que le rythme : la musique est née il y a plusieurs millénaires. La musique est d'abord liberté, joie et popularité. Au fil des siècles, la musique s'est coupée de ses racines, elle est devenue "universitaire", sur-scolarisée, chaque musicien est sur-diplômé mais est incapable d'improviser deux notes.
Toutefois, le solfège est probablement le code le mieux abouti actuellement. C'est ce que l'on a inventé de mieux pour traduire la notation du sentiment musical. Cependant, dans le solfège, il n'y a aucune musique. Le solfège est froid et vidé de la substance musicale, expressive et sentimentale : il est comme une photo que l'on n'a pas révélée... C'est l'interprète qui va traduire ce qu'il y a "dans" et "entre" les notes de ce précieux code créé ainsi qu'amélioré au fil des siècles.
Improviser c'est oser s'exprimer avec la musique dans un rapport à soi-même d'abord avant de la faire partager. Il existe deux défauts principaux chez l'apprenti-improvisateur. L'orgueil et l'idéalité. L'orgueil empêche d'aborder l'improvisation correctement tant que l'on a peur de générer la fausse-note (orgueil mal placé du paraître). Il faut découvrir le chemin avant de le posséder correctement. L'idéalité de soi-même est aussi un frein. Eviter le besoin de "perfection extérieure" imposée par le diktat de la musique classique qui n'est plus instinctive mais qui est bel et bien devenue universitaire dans une position ex-cathedra. La musique appartient à la terre et sûrement pas aux universités que sont devenus les conservatoires de musique. On ne sait être bon avant d'avoir pris des risques pour posséder une matière. Donc, découverte, apprentissage ainsi qu'humilité. Curiosité et régularité. Humilité, humilité, humilité, travail encore et encore et surtout beaucoup de pratique. Former son oreille d'abord puis, forger le socle de la théorie ensuite. Et non l'inverse. Ainsi récupérer l'instinct.
Improviser, c'est se sentir libre et oser. Vous n'avez de compte à rendre à personne à part à vous-même. Pour improviser, en vous accordant d'abord l'autorisation à la liberté, vous pouvez transformer votre partition à l'aide des idées reprises ci-dessous. J'ai repris le texte de Jacques Siron car il est très bien fait et surtout il l'a très bien écrit. Jacques Siron est un génie pédagogique dans la haute intelligence de son écriture sur toutes les théories musicales confondues.
Jacques SIRON dit ceci ici-bas :
"A. Transformation du motif (durée et rythme) varier la vitesse d’un motif :
diminuer ou augmenter la vitesse;
transformer le rythme : syncopes, contretemps , notes répétées;
transformer le phrasé : phrasé piqué, accents, phrasé ternaire; mettre des accents décalés; décaler le placement rythmique : consiste à décaler son placement dans la mesure;
B. Transformer la mélodie (varier les hauteurs)
transposer diatoniquement un motif;
transformer exactement un motif (transposition); transformer un motif de manière variable;
transformer les intervalles en les altérant chromatiquement;
transformer les intervalles en les diminuant ou augmentant;
inverser la direction d’un intervalle;
inverser en miroir selon un axe (axe = note repère);
permuter les notes de la mélodie (= modifier l’ordre des hauteurs sans altérer les notes); rétrograder les notes d’un motif (rétrograde descendant, ascendant, circulaire, brisé);
C. Transformer le nombre de notes (varier la forme du motif) ajouter une structure constante (ajout d’un point fixe après chaque note);
ajouter une structure constante après chaque note : exemples, une seconde majeure, un chromatisme d’approche, etc.;
ajouter des notes de liaison (en fait, des notes de passage);
ajouter des ornementations : gruppetto, trille, etc.; soustraire des notes à l’intérieur d’un motif en les remplaçant par des silences
D. Transposition transposer un motif dans une progression diatonique ou chromatique pour ensuite retomber sur la tonalité originale. "
Avec l’aide de Jacques SIRON "La Partition Intérieure"
(lien de son ouvrage, en haut à droite de cette page.
Une des rares bibles de la musique : incontournable !)
A propos du solfège et du signe par Jacques CHAILLEY
in "La musique et le signe", éditions Rencontre, Lausanne
(...)
"Il me souvient d'une "tribune des critiques de disques" entendue à la radio, où étaient discutés les mérites comparés de divers enregistrements d'une symphonie romantique : toutes les interprétations qui cherchaient à rendre la liberté et l'intelligence de phrasés inhérentes à cette musique furent victimes de sarcasmes ou d'invectives, et la palme revint finalement au Parfait Solfégiste, qui, bien que fort ennuyeux, n'avait fait
"que ce qui est écrit". On ne saurait rêver plus parfait contresens."
Pochette du CD
Mon premier concert public daté de 1976
consacré à Erik SATIE et remasterisé en cd
au départ d'un support K7
est mis sous fichiers mp3
(cf.pochette ci-dessous)
1. Patrick Fraselle interprète Erik Satie
2. Patrick Fraselle interprète Erik Satie
3. La technique à l’instrument
1. Il est nécessaire (primordial) pour évoluer au piano de travailler la technique : un peu comme un sportif s’entraîne pour se former aux différentes performances ! Aussi, comme il devient efficace à force cet entraînement... L’étude d’un instrument de musique est assimilable à l’apprentissage d’un sport de haut niveau. C’est la même rigueur. Le même courage. La même force. La même volonté. La même puissance. Les mêmes sacrifices dans la joie. La technique au piano est un engagement du corps, du mental ainsi que de l'émotionnel. Le piano, c’est un peu le sport des mains ! Le piano est un "sport" de très haut niveau !
2. Cependant, la technique n’est pas une finalité (comme souvent la société le montre dans des performances gratuites et ostentatoires; ou bien, le laisse croire car elle confond le moyen avec le but !). La technique n’est rien d’autre qu’un chemin pour servir la créativité ainsi que l’expressivité musicale. N’oubliez pas que l’on vit dans une société dans laquelle le paraître tient lieu de vérité et remplace l’être (l’Etre) ; nous sommes manipulés dans ce sens-là et, quoique lucides sommes-nous (?), nous gardons cette imprégnation à l’intérieur de notre chair. Cela peut mettre en péril le rapport émotionnel que vous avez avec la musique… Ou vous mettre en doute pour correspondre à une norme ; en un mot, vous priver de votre liberté ! Soyez ce que vous sentez (Etre) et non pas ce que la société corrompue (Paraître et Marketing) suppose attendre de vous…
3. Quel que soit le type de musique que vous étudiez (classique, blues, jazz, autres...), la technique est commune à tous ces styles (comme l'harmonie, d'ailleurs !). Hormis, certaines spécificités harmoniques ou de trait propre à chaque genre musical !
4. La technique est le tremplin vers une certaine liberté... Elle permet aussi d’avoir accès à l’improvisation sans contrainte dès que l’on a, musicalement, quelque chose à dire…
5. Il y a deux types de pianistes : d'abord ceux qui possèdent une approche intuitive et innée de la technique; ensuite, ceux qui doivent tout travailler et tout décortiquer. Cela ne forme pas un meilleur pianiste que l'autre. Le premier devra moins travailler les détails car il les possède "d'instinct". Pédagogiquement, sauf erreur flagrante, il ne faudra pas corriger à l'excès celui qui possède une technique innée. Mais bien lui faire confiance.
6. Last but not least : une des erreurs ainsi qu'un des travers de notre enseignement belge est de cliver "technique" et "musicalité". Ce qui est profondément stupide car l'un ne va pas sans l'autre. Ainsi étudier la technique isolément de manière abstraite et puis tenter de l'appliquer sur un morceau ne permettra pas d'obtenir un résultat efficace. C'est ce que l'on appelle "la répétition machinale" de la technique. En effet si votre professeur vous a appris jusqu'à présent la technique des gammes et des trilles, cela ne vous aidera en rien pour travaillez votre morceau qui lui est fait de technique d'octaves et de tierces... CONCLUSION : 1 - C'est le compositeur qui "fait" la technique, donc toujours travailler la technique à travers les morceaux étudiés (ce qui n'empêche en rien de faire des exercices isolés de technique pure surtout pour les grands débutants). 2 - Les gestes, l'étude se fonde sur les mouvements en tant qu'unités complexes, et non plus sur des notes. 3 - Pour "adapter" ses gestes au morceau, il faut procéder par expérience, on ne répète plus, on expérimente. C'est-à-dire : observer, essayer, expérimenter, conclure. En effet, selon les difficultés les doigtés, élans, dynamiques diverses, attaques, etc. seront différents en fonction de chaque pianiste et, pour un résultat de qualité musicale semblable.
Patrick FRASELLE pianiste
4. La technique du piano, remarques basiques importantes
1. Le clavier du piano, selon sa configuration, engendre un travail horizontal autant que linéaire.
2. D’un point de vue perpendiculaire à cette droite, le pianiste devra se confronter perpétuellement avec les trois zones du clavier : le bord, le milieu et le fond. Une prise de conscience géométrique importante est dans le déplacement horizontal l'utilisation de la diagonale pour aller du début d'un trait (notes blanches) à la fin de ce trait (notes noires). Ainsi se construit l'ergonomie complète des déplacements parfaits sur le piano.
3. Il en résulte un compromis topographique permanent : l’alliance entre le déplacement horizontal, vertical, diagonal et, impliquant, pour rendre la technique libre, toute l'énergie de la courbe (souplesse du coude, de l'épaule, du dos et du buste tout entier).
4. Le pianiste doit aborder le clavier en ayant toujours à l’esprit le principe de l’économie de mouvement (gain musculaire) : l’économie de mouvement, c’est le plus court chemin entre deux séquences (cela implique aussi l’art du doigté).
5. Utiliser le déplacement par « blocs » si c’est nécessaire : pas de chirurgie sauvage ou de tricot malhabile...
6. Par contre, pas de déplacement quand un doigté judicieux en enchaîne un autre, sauf si la dynamique musicale demande ce déplacement.
7. Prendre conscience de l’importance autant que de la fréquence de l’utilisation du passage du pouce autant que de ses avantages dans un trait.
8. Toujours laisser remonter le doigt avec la poids de la touche (bien sûr sauf le staccato !).
9. Ne pas jouer en dehors du clavier (sauf pour les pianistes expérimentés qui peuvent tout se permettre car ils en possèdent la maîtrise et, ils connaissent le chemin de leur clavier ; toutefois, sortant des chemins balisés, ils reviendront toujours à la structure, concept de fondamentalité). Donc, bien appréhender la topographie du clavier en alternant bord, milieu et fond de celui-ci.
10 . Savoir que, hormis les prouesses techniques tant que mécaniques du virtuose, il est plus difficile ---musicalement--- de jouer lentement que vite (profondeur expressive et polyphonie)
11. Aussi l’art du « toucher » étant l’aspect de la technique le plus difficile
(sensibilité extrême alliée à la maîtrise ).
12. Appliquer le principe de libération de l'énergie dans les concept "action-réaction".
Dès qu'un acte physique a été exécuté la main doit redevenir molle et non contractée. Quand un doigt joue, les autres sont libérés de toutes crispations et de toutes contractions.
13. "Jouer en ayant la sensation de pousser le piano contre le mur". Wieslaw SZLACHTA
Et ce pour avoir un rapport physique au clavier libéré de pesanteur issue de la verticalité.
Le reste étant simplement mécanique (performance du paraître).
6. Piano : 1ère leçon
Position générale dans la théorie orthodoxe car un pianiste étant en lien réel avec son clavier comme étant le prolongement de lui-même ne saurait que rapidement s'écarter de la théorie dite orthodoxe. Toutefois, la théorie orthodoxe sera très utile aux débutants pour créer un socle de certitudes.
1) Se tenir droit (pas sûr, à débattre !);
2) Ne pas hausser les épaules;
3) Le siège bien en face des pédales et la hauteur du siège est aussi l'objet d'un débat;
4) Le siège, ---ni trop loin ni trop près du clavier---, mais ajustez la position qui vous convient le mieux;
5) Les mains ne sont pas les seules actrices du clavier ! La détente du corps (hormis son ensemble) concerne, dans l’ordre : mains, avant-bras, bras, épaules, triangle dorsal (omoplates), dos en général. Fessiers en contact idéal sur le siège. Ancrage au sol avec la position des pieds. Prendre conscience que toutes ces parties du corps jouent du piano.
Position de la main
1) Jouer les doigts arrondis mais allongés légèrement c'est bien aussi car cela dépend des oeuvres et des tonalités;
2) Ne pas plier les pointe en faisant un angle vers l'intérieur;
3) Articuler nettement du doigt mais l'articulation degré zéro est aussi de rigueur;
4) Le poignet dans la continuation de la main;
5) Le métacarpe -ni trop haut ni trop bas- mais dans la continuation de l’avant-bras;
6) On commence à compter par le pouce : 1,2,3,4,5
7) Le pouce (1) à la fois de la partie gauche de la pointe (main droite) mais dans le plan parallèle de la touche/ l’index (2) arrondi, avec le « gras » du doigt /le majeur (3) arrondi, avec le « gras » du doigt /l’annulaire (4) arrondi, avec le « gras » du doigt/ l’auriculaire (5) avec le « gras » du doigt mais légèrement étendu.
Ne jamais jouer en ayant mal aux muscles, si la fatigue ainsi que la douleur musculaire surviennent, laissez pendre les bras le long du corps et les secouer en détente flottante, relâchée comme une poupée de chiffon, molle. Faire une pause. Prendre l'air. Boire de l'eau ou du jus d'orange frais. Etendez-vous 10 minutes.
Tout ceci est une théorie générale.
A chaque activité que l'humain envisage, le corps a besoin d’un cadre. Structure et fondement, un peu comme les fondations d’une maison.
Au-delà, chaque pianiste trouvera sa personnalité.
La position ainsi que le rapport à l’instrument qui lui conviennent le mieux.
UN cadre est nécessaire mais il n'y a aucune règle absolue.
Il faut rencontrer sa propre position d'excellence. Elle sera toujours unique et personnelle.
Et surtout, sachez bien que c'est le cerveau qui joue du piano avec la qualité et le nombres de connexions disponibles - les mains n'étant que les toutes dernières actrices du clavier.
P.F.
Niveau perfectionnement II -------------------- Niveau perfectionnement I
grande distinction, 93,5% ----------------------- grande distinction, 90%
solfège---------------------------------------------- solfège
Niveau supérieur B musique de chambre grande distinction 96%
Solfège grande distinction
Solfège niveau excellence distinction 88,5%
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Astor Piazzolla - Libertango version 1 par Anderson and Roy au piano quatre mains
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Les grands solistes, les grands pianistes oubliés
Myra HESS pianiste anglaise 1890 - 1965
joue Brahms second concerto en 1951
Tatiana NIKOLEYVA pianiste russe 1924 - 1993
joue Bach Préludes et Fugues vol. I et II
Elly NEY pianiste allemande 1882 - 1968
joue Beethoven Appassionata
Le jazz est la psychose "hystérique" du musicien.
Mélange démesurable entre dé-réalité du schizophrène
et réalité sur-moïque du névrotique.
Entre morcellements libres (mais non libérables) psychotiques
et un assemblement de sons, de notes du névrosé obsessionnel
inquiet autant que rassembleur du vide.
Le solo, relevant du pervers border-line.
Le jazz est le Big-Bang humain de l'humanité.
Le jazz est une auto-psychanalyse du "crie" d'amour de la mère absente
par l'enfant musicien autiste cherchant vainement la chaleur du groupe
absent-présent-fuyant.
Le jazz est seul, le jazz esseule.
Le jazz est fou.
Le jazz est foule.
Le jazz est full.
Le jazz est là, quand ?
Patrick FRASELLE pianiste
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Composition personnelle n° 1
Mélodie pour la nuit (version piano).
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